Présents :Bernadette RIGAL- Mélanie et Yvette DUCHAMP-Françoise LAMARQUE -Gérard GUIONIE- Laurence GUILLOU- Paul et Arlette LACABE-Bernard et Marinette FABIEN-Sylvie, Jean Michel et Quentin FAUGERAS-Sandrine DARNIS- Karine DUMEAUX- Gérard BLOT-Mai NGUYEN- Yves MOREL- Véronique CAPDEPON
Excusés :Christine LATAPYE qui nous a envoyé des notes- Anne Marie FOURCADE- Marie Claude JEAN- Noëlle GUIONIE (merci pour le gâteau)
La présence de quatre personnes qui connaissaient Maurice et Apollinaire mais pas notre association nous a permis de reparler de l’histoire, des objectifs et du fonctionnement de l’association.
Les échanges ont été riches, nous avons lu le courrier de Christine, lu ou relu les documents envoyés pour la cantine de Bantogodo par F. et F. SOUILI, et évoqué de nombreux sujets dans un certain désordre.
Pour résumer :
En ce qui concerne le soutien aux écoles de Bantogodo :1950 euros ont été envoyés en 4 fois de novembre 2011 à juin 2012 pour l’année scolaire dernière.
L’argent envoyé provient des dons que chacun fait mensuellement, trimestriellement ou annuellement du montant qu’il choisit en informant Bernard FABIEN notre trésorier du détail de son engagement.
Etant donnée l’inflation sur les prix des denrées alimentaires, un versement va être fait rapidement puisque c’est là bas le moment des récoltes.
Jean Michel a apporté une documentation sur les fours solaires familiaux et collectifs, nous avons discuté de l’intérêt de ce mode de cuisson pour une cantine, du type de récipients de cuisson que cela demande, de la particularité des recettes ….
Le conseil général et le conseil régional soutiennent ce type de technique.
Il faut demander à ceux qui s’occupent localement de la cantine si c’est une idée qui les intéresse et s’ils souhaitent que nous recherchions plus de renseignements. Cette technique demande un changement dans les habitudes, il faut donc que les acteurs soient motivés et formés.
Nous avons également parlé de l’intérêt de la création d’un jardin potager pour alimenter la cantine. Mais aussi de la complexité de la réalisation de ce type de projet, qui possède la terre ? L’accès à l’eau ? Qu’en pensent les différentes autorités locales ? Quelle structure est le plus à même d’assumer cette charge, l’équipe enseignante, l’association des parents d’élèves, l’association des femmes ?
François et Françoise SOUILLI sont le plus à même d’évaluer les chances de réussite d’un tel projet et le moment opportun pour éventuellement le commencer.
L’ensemble des participants est d’accord pour la poursuite de cette action pour l’année scolaire 2012 2013.
N’oublions pas d’envoyer nos dons.
La Cité des Arts de KOUDOUGOU
Nous avons échangé sur le séjour de Maurice, Apollinaire et Stéphane cet été, sur les différentes activités qu’ils ont eu et les conclusions qu’ils en tirent dans cette époque de crise.
En dehors du festival d’Africajarc,la participation à de grandes manifestations ne semble plus être rentable. Par contre des interventions bien préparées comme la journée de stage batik et la soirée conte-musique- exposition de saint Hilaire de la Noailles sont beaucoup plus intéressantes au niveau financier et au niveau de la qualité des échanges.
Il serait intéressant de réfléchir des maintenant à des organisations qui peuvent se monter dans les villages ou autour d’associations comme celle de LATAILLADE cet été.
Une autre possibilité consiste à proposer l’intervention des représentants de la Cité des Arts auprès de groupes en particulier de groupes d’enfants type CLSH par le biais de notre association. Les dossiers doivent être présentés rapidement, Mai NGUYEN va s’en occuper pour Verdelais. La com. Com. de Sauveterre serait aussi intéressée.
Nous avons évoqué aussi le projet de conteneur qui tient beaucoup à cœur aux Burkinabais, une association de Lestiac a commencé à stocker du matériel mais il faut un autre lieu de stockage plus grand. A réfléchir. A voir aussi comment peut se dérouler le transport jusqu’au Burkina.
Maurice, Apo et Stéphane sont partis avec un projet de création d’une entreprise de peinture et de revêtement de murs. Les fonds récoltés à Saint Hilaire devaient y être consacrés. Nous n’avons pas de nouvelle à ce sujet en dehors du fait que Maurice a eu une crise de paludisme.
Nous avons échangés sur le fait que les modes de d’organisation, de comptabilité.. . sont très différents en Europe et en Afrique.
Pour des problèmes financiers liés à plusieurs causes politiques, économiques..L’existence même de la cité des Arts est en péril.
Le fonctionnement mensuel de la structure eau, électricité, salaires renvient à 100 euros environ par mois.
L’idée que l’ASM aide la cité des Arts en prenant en charge une partie de ces frais a été retenue. Le financement de cette action pourrait ce faire comme celui de la cantine, les membres qui le souhaitent ferait un don d’un montant et au rythme à leur convenance pour la durée d’un an minimum. Il faudrait indiquer clairement au trésorier pour qui et à quel rythme sont établis les chèques.
Afin de répondre à notre besoin européen de clarté dans l’utilisation des fonds, le président va écrire à la Cité pour demander un budget précis des frais de fonctionnement et demander la tenue d’une comptabilité claire pour mettre en place cette action. Pour économiser de l’argent il faudrait aussi leur demander d’ouvrir un compte bancaire. Il faudra établir une convention entre l’ASM et l’association clair de lune de la Cité des arts.
Nous allons aussi leur demander de réfléchir aux dates de leur séjours si elles ne sont plus dictées par les dates des festivals, le printemps serait peut être plus judicieux ?à voir.
Les actions à mener
-Yvette DUCHAMP va se renseigner sur la possibilité de faire une exposition à la cave de Sauveterre et voir les dates possibles.
Il faudrait demander un écrit à la Cité sur leurs travaux et la technique du batik pour l’information des visiteurs de l’exposition.
-Mai NGUYEN a obtenu une place pour l’ASM au marché de Noel du CVLS de Verdelais le 8 décembre 2012 .Yvette DUCHAMP, Marinette FABIEN et Véronique CAPDEPON tiendront le stand avec elle.
-Il faut reprendre le projet de plaquette sur l’association et ses actions, Mélanie et Emeline DUCHAMP s’en occupent.
-Nous n’avons pas eu le temps de discuter en détail de la participation de l’ASM à la journée portes ouvertes de l’école de la tour Blanche le 23 février 2013 avec un élève qui fait un travail sur l’humanitaire.
-De même, il aurait fallu que quelqu’un prenne en charge avec Christine LATAPYE une action en collaboration avec la com.com. de Sauveterre et l’organisation d’expositions de batiks dans différents restaurants.
Malgré ces oublis nous avons bien travaillés et un bon repas a réuni ceux qui pouvaient rester.
(Merci à Véronique pour ce compte-rendu réalisé dès le lendemain)